samedi 8 septembre 2018

Assos libres! Défendez l'AUT!

Le forum des associations a lieu ce jour même. Une bonne occasion de rencontrer l'ensemble des associations de la ville. Toutes? Sauf une exclue du forum ou plutôt non tolérée; sans explication, sans raison donc.. l'Association des Usagers de Transports de Clamart. Pourtant son rôle est bien clair et au service de tous les clamartois qui, nombreux, sont usagers des transports collectifs : bus, Transilien, RER... Une pétition est en ligne! Venez rencontrer les responsables de l'AUT aux portes du forum.
Signer la pétition ICI!

lundi 3 septembre 2018

UJAC

Un nouveau numéro d'UJAC (Un jour à Clamart): numéro 14. Ils tiennent le rythme les sagouins! J'ai pas l'impression qu'ils vont mollir, vu l'édito...https://ujacblog.files.wordpress.com/2018/09/ujac_14.pdf

samedi 1 septembre 2018

Con bandit?

Si Cohn Bendit accepte de devenir ministre de Macron, il sera donc solidaire et complice des matraquages d'étudiants, des gardes à vues arbitraires, de la politique anti migrants systématique, de l'accélération de la dérégulation sociale, de l'anti écologisme primaire de ce président glyphosate. Ce sera l'ultime pied de nez à sa propre histoire. Ça le concerne, nous on s'en fout, mais quand même.

mardi 28 août 2018

Des moutons affamés... La faute au berger?

Le berger soigne ses moutons. Il s'en occupe normalement avec soin sinon avec dévotion et passion. A Clamart, il a été mis des moutons dans des enclos municipaux, sans doute plus pour "faire" écolo que par réelle préoccupation environnementale. La vitrine... D'ailleurs le bien être animal n'est pas la préoccupation du maire, on le sait bien depuis que les cirques animaliers reviennent sur la commune, malgré les pétitions outrées de la population. Tout de même, quand on fait paître un cheptel on se préoccupe qu'il ait à manger. Or, depuis quelques jours les moutons de Hunebelle ne cessent de bêler leur désarroi devant leur maigre pitance. Herbe jaunie, rase, broutée... Il n'y a plus rien à se mettre sous la dent! Voilà que les moutons s'attaquent aux branches basses des arbustes... Or ce ne sont pas des chèvres! Ils ne devraient pas manger de feuilles. Voir comme sur la vidéo ci-dessous des branches dévorées jusqu'au bois est inquiétant. Les passants alarmés leur donnent de quoi tenir le coup... Combien de temps?! Rappelons que le mouton ne mange que de l'herbe ou du foin séché. Il ne convient donc pas de leur apporter des compléments ! les passants qui leur donnent à manger doivent savoir que seuls les herbacés et foins verts sont tolérés par l'animal. En moyenne il faut 1.5 à 2 kg de foin par jour par animal.

la vidéo ici

mercredi 11 avril 2018

Trompe l'oeil etc

"Trompe l'oeil"... Telle est l'une des expressions retenues par les architectes du projet Hunebelle pour définir et illustrer leur projet; Rarement terme fut si pertinent! Car en effet, c'est bien d'un projet en trompe l'oeil dont il s'agit...Voire même d'une gigantesque tromperie, si j'ose dire.
Première arnaque : l'utilité présumée du projet. Pour le justifier, le maire a, une fois de plus, dénoncé l'abandon dont la ville aurait fait l'objet en matière d'équipements sportifs. C'est un classique et cela ne trompe plus personne. Rappelons les constructions du DOJO, de la nouvelle piscine, du gymnase du Petit Clamart, du gymnase Le Pennec, du mini tennis, du complexe de La Plaine. Bref... Un propos politicien inutile.
Pour renforcer cette utilité présumée, le maire change donc d'échelle et prétend inscrire Clamart dans on ne sait quelle course à l'attractivité à l'échelle de l'agglomération, comme si les villes étaient des concurrentes au sein d'un marché de l'équipement! Il faut "tirer Clamart vers le haut", dixit Berger. La faire grossir, encore et encore, et cela nous rappelle les propos tenus sur France Culture où il nous justifiait doctement la vente de la place de la gare par le Brexit! Mais attention, à la fin, la grenouille éclate non? Ce projet est démesuré et ne répond pas aux besoins des Clamartois. J'en veux pour seule preuve, le fait qu'on nous le présente enfin comme un projet unique à l'échelle régionale : "le "stade indoor que toute l'Île de France attendait! (Le monde nous l'envie non?)
Non, les Clamartois veulent une piste d'athlé rénovée et des tribunes éventuellement rafraichies...
Au lieu de quoi on leur présente un projet de 50 millions qui ne s'inscrit que dans une vaste refonte du centre-ville avec (accrochez-vous ça déménage) : rénovation de l'hôtel de ville, de la rue piétonne (qui a 15 ans...), du centre Desprez (aaaah le monoprix!!!), du marché du Trosy, du centre administratif, l'implantation d'arbres rue de Meudon, pour une "forêt au centre ville" (mon dieu... le jour où deux rangées d'arbres feront forêt!). Ajoutez-y l'enfouissement de la ligne HT et le tramway et les travaux de l'ex piscine... Bref, les habitants n'ont qu'à bien se tenir : les grues, ça ne fait que commencer. De toutes façons, "la ville ne leur appartient pas!" (Oui d'accord, mais ils paient leurs impôts!)
Sur le projet lui-même (affreux mais chacun ses goûts), on ne pourra pas reprocher la tentative d'insertion dans le site. Les architectes ont été "frappés" par l'aspect "nature dans la ville" du site et ont voulu préserver cette "ambiance de clairière". Nous, on voudrait garder la clairière et pas juste l'ambiance! Trompe l’œil donc, et maquillage du béton. On enterre, on encastre. C'est pas moi qui le dit, c'est eux : "on a voulu enterrer au maximum". C'est pourquoi, je pense qu'il y a eu une incompréhension de l'architecte par rapport à la question que posait un citoyen quant à la profondeur : on ira au maximum, a-t-il répondu, pour le niveau le plus bas, à 6m du sol actuel. C'est juste impossible. Le terrain de rugby est en effet déjà décaissé de 4 mètres par rapport à l'actuel (donc adieu le joli talus des moutons); Il y a, sous le terrain, un parking susceptible d'accueillir des cars : au moins 3 m. Et, sous le parking, le niveau R-2 accueille le bowling. A moins de jouer à plat ventre je vois pas comment faire! 6 mètres sous le niveau rue de Meudon peut-être... Soit 10 mètres sous l'actuel stade. Peu importe en fait : le barrage de béton souterrain empêchera bien les eaux de s'écouler. Et comme au niveau de la rue Duffaut, au droit de la rue de Meudon, elles ne sont qu'à 3 m sous la surface...
Trompe l’œil donc sur le côté vert. Vert c'est la couleur qui recouvrira le béton, pas celle d'un projet écologique. Mais en même temps les archis font pas ce qu'ils veulent! On ne leur a jamais demandé un truc HQE ou éco responsable ou autonome en énergie...
Pour le reste un resto panoramique pas panoramique, un commerce de sport, un bowling 12 pistes... Bref, la récréation pour les riches. Là encore, ce n'est pas moi qui le dit. Alors qu'on lui posait la question des nuisances liées à ces activités, le maire a répondu que, vu le prix d'une partie de bowling, "rassurez-vous, il n'y aura pas de racaille"! Stupéfiant : on est chez les bourgeois ici M'sieur-Dames! Quand au restaurant, il a assuré qu'on aurait du "haut de gamme". Ouf, me voilà rassuré! Le maire a aussi détaillé tous les parkings qu'il allait faire mais là, j'avoue, j'ai pas suivi le détail. C'est simple : partout, il en met partout! Le roi de la bagnole comme diraient certains...
Trompe l’œil aussi, les JO. On l'a déjà dit, mais on le répète : non, des athlètes qui veulent briller sur les distances extérieures, n'iront pas prendre leurs marques en intérieur sur des repères et des angles de virage différents. Sauf s'ils veulent perdre... C'est aussi une certaine idée du sport qui nous sépare : entre le sport des loisirs qui entretient le corps et l'âme ou le sport de haut niveau qui entraîne la compète et la dope!
Reste la question du coût: 50 millions. M. le maire nous a dit : "pour une ville comme Clamart c'est tout à fait faisable! C'est comme 4 écoles..." Et bien qu'on fasse 4 écoles! Ou qu'on paie des animateurs sociaux, qu'on rénove le Centre du Pavé Blanc, la maison de quartier lambda, qu'on fasse des crèches, qu'on remette des humains en face d'autres humains là où on en a besoin, qu'on nettoie les rues, qu'on ... !
Hunebelle méritait entre 1 et 8 millions de travaux selon les besoins de rénovation : une piste d'athlé, des tribunes, un club house pourquoi pas? - refaire les tennis... A Boulogne, on a refait le complexe sportif Le Gallo pour 75 millions! Mais Boulogne c'est plus de 100 000 habitants et l'ACBB un club d'une autre envergure que le CSM... Et ça mérite pas ça! Folie des grandeurs...

jeudi 5 avril 2018

Faux nez!

Les premières images (de synthèse) du projet Hunebelle. L'intégration du projet dans le site vert est un leurre. Il s'agit bien d'un bloc de béton de 20 m de profondeur maquillé "nature". Les problèmes écologiques (écoulement d'eau souterrains) sont réels et la commercialisation du lieu est en marche. Le coût estimé : 41 millions! Se battre et refuser!

mercredi 14 mars 2018

Un jour à Clamart!

Le journal Un jour à Clamart sort son numéro 12. Je ne sais quelle passion anime les rédacteurs de ce périodique pour paraître aussi régulièrement avec une qualité aussi constante. bravo à eux! C'est ici et déjà le numéro 12 en 20 mois d'existence!

samedi 10 mars 2018

Pas d'ennemi à gauche!

Dans deux ans les élections municipales... Il est temps d'en parler! Avant que les candidats plus ou moins déclarés ne se multiplient et que la division n'opère,nous appelons ici à une responsabilisation des organisations constituées et à la définition d'une ligne politique capable de l'emporter autour d'une candidature capable de rassembler, non sectaire, responsable : un mot d'ordre : Pas d'ennemi à gauche! Une obligation : combattre les agressions sociales gouvernementales et communales! Démocratie,écologie, éthique, citoyenneté!

mercredi 7 mars 2018

Clamart sur France Culture

Clamart est à l'honneur dans La Série Documentaire de France Culture sur le Grand Paris. Deux habitants et le maire sont interviewés : et ils ne sont pas d'accord... à écouter ici... à partir de 30mn et 17 secondes...

lundi 26 février 2018

Respire! Ivry c'est pas loin.

Clamart et Ivry c'est pas très loin! Si Clamart est en proie à une bétonisation de plus en plus intense, elle peut néanmoins encore respirer (jusqu'à quand ???). Mais, à Ivry, la densité est depuis longtemps très intense. Sur les quais de Seine les zones industrielles ont longtemps régné. Le métro est là depuis très longtemps. Nul besoin d'en rajouter, mais besoin de respirer. La respiration, ce sont par exemple les jardins ouvriers du Fort d'Ivry, un havre de paix et de campagne au milieu de l'immensité urbanisée. Aujourd'hui ces jardins sont menacés par les projets de Macron et de son architecte en chef à lui, Roland Castro. Faire du fort d'Ivry le Montmartre du Grand Paris... Et quoi encore? Le World Trade Center de la France? Le Berlin futuro-mythique d'Albert Speer? Il faut arrêter avec les projets débilo-grandioses et se concentrer sur la vie des gens, la vie qui va et les concerne, ici et maintenant. Oui le fort d'Ivry est un p'tit coin de paradis aujourd'hui! On peut y discuter en jardinant, boire un verre assis sur un banc sans entendre le boucan urbain! On peut y croiser untel et unetelle heureux de s'échapper le temps d'un Week-end de leur vie de banlieue et d'ajouter "apéro au jardin" à "métro-boulot-dodo". Les locataires jardiniers se mobilisent et doivent être soutenus.

Une pétition est en ligne : https://www.unepetition.fr/oui-aux-jardins-d-ivry
Même combat à Montreuil pour les murs à pêches! Lire ici
avec une pétition en ligne.

samedi 17 février 2018

Cyrano et sirène

Dimanche 11 février, Jean Arp, représentation - la dernière- de Cyrano, mis en scène par Lazare Herson-Macarel. Après un premier acte que je qualifierais d'un peu confus dans lequel le rythme domine le texte et cela me chagrine, la pièce a pris son envol. L'acte 2, l'acte 3 et l'acte 4 ont installé la beauté et la tension de l'intrigue et de la psychologie des personnages. Cyrano a pris sa dimension politique et sentimentale servi par un formidable acteur, Eddie Chignara. Roxane(Morgane Nairaud)est convaincante. L'acte 5 peut débuter, la boule dans la gorge pour tous ceux qui connaissent l'histoire....Badaboum! La sirène d'évacuation accompagnée de son odieux message enregistré retentit. Une fois, deux fois. Les spectateurs sont intrigués. Certains commencent à quitter la salle. Le calme des acteurs et des gestes non équivoques nous invitent à rester. L'alarme s'est déclenchée par erreur. Bon... ça peut arriver et vaut mieux que ce soit dans ce sens-là, mais tout de même... On frôle l'irréparable. Imaginons qu'elle se déclenche 5 mn plus tard et c'est la tirade de Cyrano qui passe à la moulinette! Y a des exercices pour vérifier le fonctionnement du machin! Passons... Ce qui ne peut pas et ne doit pas arriver c'est ce qui s'ensuit : à savoir la durée de l'interruption, sirène hurlante ... Mais alors personne dans le théâtre ne sait comment l'arrêter? Y a pas un gus' capable de stopper cette gueuse qui tue la poésie? Impatience de certains. Ça y est, cela s'arrête; applaudissements brefs, mais nourris, et au mot près, magnifiques, les comédiens reprennent. Et Cyrano peut mourir sans abandonner son panache.
Cette pièce formidable, c'est une pièce si moderne dans son message politique, si antinomique de ce qu'il se passe à Clamart et ailleurs, que je ne résiste pas à en citer quelques vers puissants:

acte 2, scène 8

Et que faudrait-il faire ?

Chercher un protecteur puissant, prendre un patron,

Et comme un lierre obscur qui circonvient un tronc

Et s’en fait un tuteur en lui léchant l’écorce,

Grimper par ruse au lieu de s’élever par force ?

Non, merci. Dédier, comme tous ils le font,

Des vers aux financiers ? se changer en bouffon

Dans l’espoir vil de voir, aux lèvres d’un ministre,

Naître un sourire, enfin, qui ne soit pas sinistre ?

Non, merci. Déjeuner, chaque jour, d’un crapaud ?

Avoir un ventre usé par la marche ? une peau

Qui plus vite, à l’endroit des genoux, devient sale ?

Exécuter des tours de souplesse dorsale ?…

Non, merci. D’une main flatter la chèvre au cou

Cependant que, de l’autre, on arrose le chou,

Et donneur de séné par désir de rhubarbe,

Avoir un encensoir, toujours, dans quelque barbe ?

Non, merci ! Se pousser de giron en giron,

Devenir un petit grand homme dans un rond,

Et naviguer, avec des madrigaux pour rames,

Et dans ses voiles des soupirs de vieilles dames ?

Non, merci ! Chez le bon éditeur de Sercy

Faire éditer ses vers en payant ? Non, merci !

S’aller faire nommer pape par les conciles

Que dans les cabarets tiennent des imbéciles ?

Non, merci ! Travailler à se construire un nom

Sur un sonnet, au lieu d’en faire d’autres ? Non,

Merci ! Ne découvrir du talent qu’aux mazettes ?

Être terrorisé par de vagues gazettes,

Et se dire sans cesse : « Oh, pourvu que je sois

Dans les petits papiers du Mercure François ? »…

Non, merci ! Calculer, avoir peur, être blême,

Préférer faire une visite qu’un poème,

Rédiger des placets, se faire présenter ?

Non, merci ! non, merci ! non, merci ! Mais… chanter,

Rêver, rire, passer, être seul, être libre,

Avoir l’œil qui regarde bien, la voix qui vibre,

Mettre, quand il vous plaît, son feutre de travers,

Pour un oui, pour un non, se battre, — ou faire un vers !

Travailler sans souci de gloire ou de fortune,

À tel voyage, auquel on pense, dans la lune !

N’écrire jamais rien qui de soi ne sortît,

Et modeste d’ailleurs, se dire : mon petit,

Sois satisfait des fleurs, des fruits, même des feuilles,

Si c’est dans ton jardin à toi que tu les cueilles !

Puis, s’il advient d’un peu triompher, par hasard,

Ne pas être obligé d’en rien rendre à César,

Vis-à-vis de soi-même en garder le mérite,

Bref, dédaignant d’être le lierre parasite,

Lors même qu’on n’est pas le chêne ou le tilleul,

Ne pas monter bien haut, peut-être, mais tout seul !

Cette mise en scène en tous cas, hormis l'acte 1 qui ne m'a pas convaincu je l'ai dit, avait de formidables atouts : un Cyrano très bon, le rôle oblige à l'excellence... Une Roxane à la hauteur. Des choix réussis, et un siège d'Arras épique à souhait! Une sobriété de bon aloi et si le final n'avait pas été gâché par cet incident, nous aurions pu pleurer toutes les larmes de nos corps car, enfin, ce passage, forcément, vous remue si vous avez un coeur...:

Cyrano :
« Mon cœur ne vous quitta jamais une seconde,

Et je suis et serai jusque dans l’autre monde

Celui qui vous aima sans mesure, celui… »




ROXANE, lui posant la main sur l’épaule

Comment pouvez-vous lire à présent ? Il fait nuit.


(Il tressaille, se retourne, la voit là tout près, fait un geste d’effroi, baisse la tête. Un long silence. Puis, dans l’ombre complètement venue, elle dit avec lenteur, joignant les mains)

Et pendant quatorze ans, il a joué ce rôle

D’être le vieil ami qui vient pour être drôle !

dimanche 28 janvier 2018

Filles de joie

Clamart est pleine de grues.
Les chalands peinent à se frayer un chemin entre les palissades derrière lesquelles se planquent ces filles de joie.
A qui rapporte le bénéfice qu’octroie la grue ? Telles étaient mes divagations badines ce matin. Tout de même, de ce chantier permanent qu’est devenue la ville, quelqu’un tire bien bénéfice ?
A regarder les panneaux des promoteurs, certains noms semblent avoir tiré le gros lot. Eiffage est partout (démolition LEP Camus, 3 programmes immobiliers dans le haut Clamart ), Emerige (Ex Piscine, Panorama) est ravie, Icade (Némésis au pavé blanc, Villa Fleury à la gare) se délecte.
Tout va bien, les grues rapportent.
Photo chantier Piscine.

Trottoir barré depuis 5 mois
Vous aussi envoyez les photos de celles qui vous barrent la route, la vue et vous cassent les oreilles du matin au soir, voire toute la nuit (riverains du chantier gare 24/24 cet été...). Quand le bâtiment va, tout va... Heu....
Les remontrances récentes de la cour des comptes sur le chantier du GPE montrent bien les limites du théorème... Avec des retards qui rendront inopérants le super métro pour les JO, un premier prétexte de sa construction s'effondre. Avec les premières jolies erreurs (inondation du RER A lors de forages) et les premiers dépassements de la facture (prépayée par l'impôt je le rappelle...) de + de 10 milliards (13.5 milliards les amis!et c'est pas fini!!!) , on comprend que la commande publique ne sert souvent qu'à engraisser les profits privés mais en aucun cas le service réel de l'intérêt général...Sur ce sujet du Grand Paris lire aussi : Lire aussi l'article critique du très libéral Capital : tout le monde en prend pour son grade...Ici.