dimanche 6 novembre 2016

Infos locales

On nous demande de communiquer ça . On le fait bien volontiers!


et ça aussi!
Réunion publique, à propos des traités TAFTA et CETA, organisée par Attac.

vendredi 4 novembre 2016

Petite fleur

"Petite fleur" c'est le titre du plus célèbre morceau d'un grand jazzman, Sidney Bechet. Ce pourrait être aussi le résumé de la politique droitière de la municipalité actuelle de Clamart. Remplir des bacs à fleurs en béton, couper les arbres, bétonner la ville, exploser le sous-sol à coups de parkings et d'équipements souterrains. Cette fleur, la troisième, -Clamart ville super fleurie!- est bien à la hauteur de l'ambition du maire actuel : faire joli. Ah... le beau.... On a déjà beaucoup glosé là-dessus n'y revenons pas... Mais tout de même... Quid du contenu politique? Tout dans les apparences. Faire beau, faire joli, pour faire croire : faire croire à l'ancienneté (le style néo classique gerbos); faire croire à l'environnement (la troisième fleur); faire croire à la défense de l'intérêt général (les panneaux de propagande sur le stade); faire croire à la sécurité (caméras); faire croire à des lieux désaffectés (politique des palissades); et faire croire à ce que l'on gère la ville. On la gère en effet! Et l'habitant digère de moins en moins bien : hausse des tarifs municipaux, projets délirants (Gare, Hunebelle), absence de concertation (disparition des conseils de quartiers qui ne sont plus que des simples réunions d'informations...)... Dans tous les domaines, la communication propagandiste masque les vœux destructeurs d'un équilibre ancien entre urbanisation et esprit village... Triste résultat. Triste politique. Toute petite fleur.

des fleurs...

La mairie s'envoie des fleurs dans Clamart Intox, euh pardon, Clamart Infos. Tout heureux le maire s'enorgueillit de la promesse tenue d'une fleur supplémentaire sur le panneau d'entrée de la ville. Clamart ville fleurie! Mao disait à l'aube de la révolution culturelle triomphante "que 100 fleurs s'épanouissent..." On sait ce qu'il advint du printemps chinois... Ah au fait combien d'arbres abattus quartier Fleury ces derniers jours? C'est ringard! Pour poursuivre, la communication municipale essaie de justifier l'injustifiable tentative de fermeture de la PBR. Lisez donc plutôt le dernier numéro d'Un jour à Clamart pour mieux saisir l'affaire. Qu'on se le dise!